J’étais jeudi dernier dans les locaux Prestashop, avec Antoine THOMAS, le developper advocate de la société Prestashop. Nous avons animé un webinaire sur le sujet “L’ e-commerce facile et sans ressaisie avec Prestashop et Vaisonet”.
Voici la rediffusion sur la chaine Youtube de Prestashop :
Les diapositives du webinaire :
Et enfin, voici la transcription de la vidéo :
Maxime VARINARD : Bonjour à tous, je commence par me présenter Maxime VARINARD Vaisonet. Nous sommes éditeurs de logiciels partenaires de PrestaShop. On édite des logiciels qui permettent de synchroniser le logiciel Prestashop avec des outils de gestion notamment. Je vais expliquer un petit plus tard dans la présentation à quoi cela sert.
Antoine THOMAS : Pour ma part, je suis Antoine Thomas, je suis le développeur Déveloper Advocate chez Prestashop. Ma mission principale c’est de faire en sorte que l’on fasse bien de l’open source, que les gens qui veulent contribuer à Prestashop puissent le faire. J’accompagne ce matin pour présenter la solution et puis répondre aux questions que vous pouvez avoir et sur les problématiques d’ouverture du logiciel. Je crois que c’est moi qui commence. Je pense que la plupart des gens qui sont présents ce matin sur webinaire, savent que PrestaShop sert à créer un site de e-commerce. C’est vraiment de permettre à toute personne dans le monde de créer sa boutique en ligne. Et quand on dit sa boutique, c’est de créer une boutique qui correspond à son métier et ses besoins. Quelques fonctionnalités phares, l’avantage de Prestashop quand vous l’installer; il y a déjà à peu près tout pour démarrer. Vous devez sélectionner une solution de paiement et éventuellement une solution de logistique quand vous avez des expéditions à faire. Mais vous n’avez pas forcément pour démarrer besoin de configurer énormément de choses. Evidemment, il faut rajouter votre catalogue de produits c’est vraiment la fonctionnalité phare. Il y a déjà tout dedans déjà à la base, après vous pouvez rajouter des choses. La force de PrestaShop, c’est la grande communauté de gens qui ont contribués à des fonctionnalités supplémentaires. A ce jour à plus de 6000 modules, il y a des thèmes. En combinant ces modules, ces thèmes et la solution de base, vous pouvez à peu près faire des boutiques pour pratiquement tous les usages, du B to B, du B to C, du dématérialisé. Vous pouvez aussi adapter Prestashop à vos outils habituels, votre caisse, vos entrepôts, votre gestion habituelle. Vous pouvez faire aussi développer des fonctionnalités sur mesure. Alors le fait que PrestaShop soit open source, c’est important parce que d’une part le code est ouvert, on peut l’éditer, on peut le modifier, on peut l’étendre, rajouter des fonctionnalités, soit à travers les modules soit à travers, ce que fait Vaisonet. Et c’est surtout la licence du logiciel vous donne le droit de le faire contrairement à certains autres logiciels où la licence vous interdit de faire des modifications. PrestaShop par défaut est conçu pour que vous puissiez le personnaliser et en faire la solution qui vous convient. Après si vous avez des questions après la présentation de Maxime, tout simplement, je suis là pour y répondre.
Maxime VARINARD : Je vais vous parler de Prestashop en tant qu’outil d’entreprise. PrestaShop permet de créer des boutiques en ligne. C’est avant tout un canal de vente. Quand on est une entreprise, c’est un canal de vente parmi d’autres. On va avoir déjà un système d’informations, c’est le SI de l’entreprise. Comment fait-on pour arriver à intégrer Prestashop dans cet écosystème déjà existant ? Deux cas pratiques pour illustrer cette intégration. La première, quand on est commerçant physique, le fait d’intégrer Prestashop dans son système d’information cela permet de faire de l’omnicanal et de permettre de ressaisir, d’éviter de ressaisir tous ce qui est article, stock, client et de centraliser les informations toujours au même endroit. Un autre intérêt d’intégrer Prestashop dans un SI, c’est quand on est, c’est être plus efficace sur des gestions de réapro, des commandes fournisseurs, faire des stats, de la comptabilité de manière un peu plus avancée. De quelles synchronisations on parle ? Là j’ai cité sur la slide plusieurs logos d’éditeurs de logiciels de gestion. Et l’intérêt quelque part c’est d’avoir la meilleure des demandes. On a un excellent logiciel qui permet de gérer le site e-commerce. Et derrière on va avoir un back office, des outils qui permet de gérer, de piloter l’entreprise. La solution, c’est celle qu’on propose chez Vaisonet qui s’appelle e-connecteur et concrètement en quoi ce logiciel permet d’interfacer PrestaShop avec le système d’information. On va pouvoir dans un premier temps importer toutes les commandes de la gestion commerciale, de toutes les commandes de Prestashop dans la gestion commerciale. Cela permet d’avoir toutes les commandes au même endroit. Que le client commande en point de vente, commande sur une Marketplace, commande sur PrestaShop. On va retrouver les informations au même endroit, on aura toujours l’information client qui est centralisée à un seul endroit. L’autre possibilité, c’est de prendre tous les produits quand ils sont commandés, fabriqués, achetés à des fournisseurs. On va reprendre tous ces informations-là et les capitaliser des informations qui existent déjà dans l’entreprise. Sauf cas particulier d’une création par un catalogue qui est vierge. Une entreprise a toujours quelque part une information dans un ERP, dans une gestion, dans un fichier Excel. Comment fait-on pour récupérer cela, côté PrestaShop ? On peut arriver à automatiser ces informations-là pour éviter de réécrire plusieurs fois les mêmes informations. La question qui peut se poser, quand cela peut-être pertinent d’automatiser ? L’automatisation va avoir un coût de logiciels, de mise en œuvre. Il va falloir produire un travail. Il faut contre balancer cela avec le temps gagné que l’on peut économiser. Concrètement, ce sont des exemples très pratiques chiffrés où nos clients disent à partir de 1.500 produits, on commence à être rentable à partir de 15 commandes par mois, des solutions d’automatisations sont rentables. Les chiffres que vous voyez là à l’écran, de 1.500 à 13.000 produits, ce sont des cas typiques de clients qui automatisent les informations de 15 à 220 produits par mois. Cela peut aller bien au-delà, on peut avoir plus de 220.000 produits, PrestaShop le gère très bien. Les interfaces de connexions avec permettent de faire ces choses-là, gérer des fortes volumétries de commandes, des lignes de tarifs. Des lignes de tarifs, Antoine n’en a pas parlé toute à l’heure mais un des points fort de PrestaShop par rapport à la concurrence, c’est sa gestion de grilles tarifaires. Des gestions qui ne se font pas ailleurs et qui sont performantes et efficaces en fonction des clients, des groupes de clients.
Antoine THOMAS : D’ailleurs, c’est vrai aujourd’hui, PrestaShop est très utilisé en B To B, justement qui permet de personnaliser des lignes de tarifs en B To B pour des comptes clients.
Maxime VARINARD : C’est ça. Pour donner des cas pratiques de quelques clients Vaisonet, je vais en citer trois ce matin. Le premier, c’est le cas de la société Foxchip qui va vendre des produits autour des jeux vidéo, comme des figurines, des accessoires, des réparations de consoles. Foxchip a une difficulté particulière dans son métier, il va avoir des paniers moyens qui sont relativement faibles et un très fort volume de commandes. L’automatisation prend tout son sens. Comment fait-on à gagner du temps, sur le traitement de commandes ? Parce que chaque seconde de gagner c’est un taux de marge de gagné supplémentaire. C’est très important quand on a des paniers moyens, des outils d’automatisation, gérer des cas un peu particulier. Je vais parler un peu de comptabilité rapidement. Quand on est une entreprise française que l’on va vendre hors France, au sein de l’Union Européenne, on fait la déclaration de TVA, sauf si on va déplacer les plafonds de TVA propre à chaque pays. Donc si vous vendez en France en Belgique et puis par exemple en Espagne, vous déplacer les plafonds de TVA sur ces pays-là. Vous êtes obligés de faire une déclaration de TVA pays par pays. C’est un travail comptable qui est nécessaire et qui nécessite de ventiler les taux de TVA de manière très spécifique. C’est une fonctionnalité que PrestaShop ne propose pas maintenant actuellement qui est typique d’un logiciel de comptabilité. Grâce à l’automatisation, on va pouvoir aller faire ses déclarations de TVA pays par pays. Autre cas d’utilisation, je vais parler de la société Tyr Europe. Tyr vous l’avez peut-être vu, c’est la photo qui est en illustration. Si ma mémoire ne me trompe pas c’est Camille LACOURT, champion de natation. Tyr est une société qui importe en exclusivité de la marque Tyr qui est aux Etats-Unis pour toute l’Europe de l’ouest, les maillots de bains pour sportifs. Ce sont des gens qui sponsorisent par exemple la fédération française de natation et les différents championnats.
Maxime VARINARD : La problématique dans le cadre de cette société, c’est d’avoir des informations de stocks qui soient à jour et qui permettent de livrer plus rapidement les clients. Le fait d’automatiser la gestion des commandes de PrestaShop avec leur logiciel de gestion, ils gagnent 24 heures sur leur expédition. C’est-à-dire qu’ils sont capables d’envoyer en logistique leur commande un jour plus tôt quand on est dans des contextes de ventes B to B, où on s’attend à avoir le produit le plus rapidement possible, gagner un jour c’est point essentiel sur les commandes. Un autre cas d’utilisation qui est sur une entreprise qui est plus traditionnelle, c’est le cas de la société des Ocres de France. Les Ocres, pour ceux qui ne connaissent pas, ce sont des terres très colorées qui sont très présentes dans le Vaucluse. Des carrières qui ont été exploitées à partir des années 1600 ans. C’est une industrie traditionnelle. La problématique industrielle de cette entreprise-là avec l’arrivée des colorants chimiques dans les années 1900. Il a été difficile de vendre ces produits- là sauf sur des marchés de niche pour les pour les restaurateurs. Comment fait-on pour arriver à donner de l’essor sur une entreprise alors qu’industriellement le secteur est en déclin ? C’est ce qu’a réussi à faire les Ocres de France, c’est une société qui fonctionne bien grâce au numérique et grâce à l’automatisation de ses tâches. Tous ces exemples-là, je les ai mis en lien sur les slides, vous pouvez télécharger ces cas clients complets que vont présenter les entreprises et comment on fait pour s’en servir. Un dernier mot même si ce n’est pas forcément trop l’objet de ce webinaire sur l’aspect purement technique, comment cela marche et comment cela fonctionne ? Antoine en a parlé toute à l’heure, PrestaShop dispose d’une API, d’un webservice natif. Pas besoin d’un module supplémentaire pour pouvoir automatiser les échanges de données avec PrestaShop. C’est une de ces forces, c’est que l’on va pouvoir directement en activant le webservice de PrestaShop, échanger les données avec des outils de gestion. On branche un logiciel connecteur, on active cela côté PrestaShop et on va pouvoir faire les échanges de données après configuration. Voilà la présentation est terminée. Vous avez une fenêtre de tchatche qui apparaît, n’hésitez pas à nous poser vos questions, on va être là pour y répondre.
Antoine THOMAS : On va attendre quelques minutes que vous nous posiez vos questions dans le tchatche effectivement.
Antoine Thomas : “Est-ce que la solution sera toujours valable dans le futur avec Cogilog” ?
Maxime VARINARD : C’est une bonne question, oui. Coglilog un logiciel de gestion commerciale est sous Mac. Actuellement, je suis honnête on a une solution avec Cogilog qui fonctionne. Il y a quelque particularité liée avec cette gestion-là. Pour rentrer dans les détails si vous avez besoin d’informations à ce niveau-là. Il faut d’abord ouvrir Cogilog, donc ouvrir la base de données Cogilog à l’extérieur. C’est une équipe de communication qui est fourni par l’éditeur Cogilog. Cela nécessite un travail sur votre infrastructure Mac. Il faut être accompagné pour pouvoir installer mettre en place ce type d’infrastructure avec Cogilog. Les de commandes peuvent être aussi fait avec cet outil-là.
Antoine THOMAS : Et dans le futur ? Je te pose la question.
Maxime VARINARD : Dans le futur, ce n’est pas propre à Cogilog d’une manière générale avec les logiciels que l’on propose. Le logiciel E-Connecteur que l’on propose aujourd’hui, on ne peut pas garantir qu’elle va fonctionner avec la future version PrestaShop, avec la future version de Cogilog, avec la future version d’EBP etc. Donc on accompagne nos clients avec des contrats de maintenance et de support technique où l’on va s’engager durant le temps du contrat à fournir des mises à jour de nos logiciels s’ils s’avéraient incompatibles parce qu’il y a eu des évolutions avec les autres logiciels.
Antoine THOMAS : Dans le futur Cogilog sera supporté tant que le contrat de support…
Maxime VARINARD : Sera ouvert.
Antoine THOMAS : Une deuxième question : «Bonjour, est-il possible avec le connecteur de réaliser la création et la mise à jour de produit simple et en déclinaison ?»
Maxime VARINARD : Cela va être une réponse ni oui ni non. Cela va dépendre du logiciel de gestion commerciale. Une déclinaison dans PrestaShop, c’est un produit sur lequel on va avoir une option par exemple : la taille, la couleur et une valeur rouge. Cela veut dire que côté gestion commerciale, il faut que l’on ait une information qui soit structurée de la même manière, d’avoir les options et les valeurs. Tous les logiciels de gestion ne le font pas. Par exemple la ligne va avoir une notion. Ce ne va pas s’appeler des déclinaisons, cela va s’appeler des gammes. On va pouvoir reconstruire les déclinaisons et créer automatiquement des déclinaisons avec la ligne avec la gestion commerciale EBP du moment que vous avez un module gamme. Du moment qu’il y a cette structure qui reproduit la structure déclinaison côté gestion commerciale, on va pouvoir créer ces éléments-là. Cela fait quelques années, mais c’est quelque chose… C’est une question qui est revenue assez longtemps parce que les logiciels de gestion commerciale, à part la ligne qui existe depuis très longtemps. La gestion des gammes est apparue relativement récemment dans les gestions commerciales.
Antoine THOMAS : Une question à propos de Gestimum : «Est-ce qu’il y a une interface pour cette solution ?»
Maxime VARINARD : C’est tout récent chez Vaisonet mais c’est désormais possible. Avec une particularité avec Gestimum. On va être des… Si on dresse les profils des utilisateurs de gestion commerciale, Gestimum haut de gamme. Et si on est sur ces logiCiels-là, c’est parce que l’on a des besoins spécifiques qui ne sont pas couvert par des logiciels entrée de gamme ou moyenne gamme style EBP, Ciel par exemple. Donc on a des outils qui existent mais ce ne sont pas des outils qui vont être standardisés. Cela ne va pas être un logiciel en boîte et tout marche parce que si on utilise ces logiciels, Gestimum en particulier, on va avoir des besoins métiers qui vont demander, études et adaptation généralement mais oui on peut automatiser avec Gestimum.
Antoine THOMAS : Aujourd’hui, il n’y a pas spécifiquement une solution clé en main pour Gestimum mais par contre c’est quelque chose, une fois fait «le dit métier», la personnalisation de Gestimum on peut synchroniser avec PrestaShop.
Maxime VARINARD : Exactement. On aurait le même type de réponse avec Cegid par exemple.
Antoine THOMAS : Ok. Je vois qu’il n’y a pas d’autres questions pour l’instant. Je vais revérifier.
Maxime VARINARD : Peut-être celle-là ?«Est-il possible simplement d’importer les commandes sous Cogilog sans avoir les produits dans la base ?» Ce n’est pas une question propre à Cogilog, cela va marcher avec tous les logiciels de gestion commerciale. Un logiciel de gestion commerciale a une logique des contraintes très forte derrière en termes de comptabilité et de gestion de stock. Je veux dire par là que l’on ne peut pas créer une commande dans un logiciel de gestion sans avoir des produits dans la gestion commerciale. On est d’abord obligé de créer les produits en gestion commerciale. D’une manière générale, sur les logiciels de gestion, on peut oui évidement créer automatiquement des produits mais ce n’est pas dans l’esprit d’une automatisation. Un exemple très concret, je résume un petit peu pour faire court. Un produit, on va commencer par l’acheter ou le fabriquer. On va d’abord le retrouver dans la gestion commerciale et après on va vouloir le vendre. On va le déployer sur son point de vente qui soit physique ou sur un point de vente virtuel avec PrestaShotp. Après on va améliorer le webmarketing, le référencement, éventuellement les fiches produits dans la gestion commerciale. Si on prend le processus dans son ensemble, il faut d’abord créer les produits dans la gestion commerciale…
Maxime VARINARD : Ou les avoir dans la gestion commerciale avant de pouvoir créer des commandes. Il va falloir Cogilog ou pas Cogilog, avoir d’abord les produits en gestion commerciale. C’est une étape, quand on arrive sur des projets où on a une prestation déjà établie qui s’équipe d’un logiciel de gestion. Une étape au lancement du projet, c’est de prendre les produits PrestaShop, en haut à droite vous avez un petit bouton plus qui permet de faire un export SV , on importe cela dans la gestion commerciale, on part propre et après on automatise les échanges.
Antoine THOMAS : Une deuxième question de Matthieu : «Pour préciser ma question, il s’agit EBP online avec sachant qu’avec l’aide des champs personnalisés, on peut renseigner les champs des déclinaisons mais le connecteur saura-t-il faire de la création mixte.
Maxime VARINARD : C’était la question par rapport aux déclinaisons précédentes. Quand on est sur EBP avec des gammes, l’information est structurée par l’éditeur EBP. On sait nativement où aller chercher l’information. Nous, dans ces cas-là, on est sur des connecteurs qui sont standards et on va récupérer l’info sans adaptions spécifiques de notre part. Si vous gérez des champs personnalisés, ils sont personnalisés par définition… La façon que vous avez pour créer ces champs personnalisés, cela va être propre à votre société. Oui, on va pouvoir créer l’information, par contre ce sera du spécifique sur votre dossier.
Antoine THOMAS : Ok. Il y a une personne qui nous indique qu’elle reviendra vers nous. On n’a pas d’autres questions pour le moment. Si vous avez aussi des questions vis-à-vis de la partie open source ou PrestaShop, je peux tout à fait y répondre. On va patienter encore une ou deux minutes. On a encore un peu le temps. Dans tous les cas, s’il n’y a pas d’autres questions, merci beaucoup d’avoir participer à ce webinaire avec Vaisonet sur les possibilités de synchroniser avec les logiciels de gestion. Vous pouvez revenir vers lui ou vers nous pour être mis en contact pour pouvoir avancer sur la résolution de vos problématiques métiers.
Maxime VARINARD : Merci.
Antoine THOMAS : On va rester connecter une ou deux minutes au cas où vous ayez des questions, encore qui viennent. Normalement le webinaire est enregistré, il sera diffusé par notre service communication dans les jours qui arrivent. Vous pourrez retrouver nos réponses à vos questions. Je ne sais plus si c’est diffusé sur YouTube. On a une plateforme qui diffuse nos webinaires, vous pourrez retrouver l’intégralité de la présentation etc. Merci à tous, on ferme bonne journée.
Maxime VARINARD : Au revoir.
Antoine THOMAS : Ah, une dernière question sur Cogilog.
Maxime VARINARD : «Cogilog ne sait pas gérer les déclinaisons, donc nous ne pouvons pas créer les produits.» Je vais nuancer un petit peu cette réponse-là ma réponse à ce niveau-là. C’est-à-dire qu’effectivement si on n’a pas une structure de déclinaison, on n’est pas capable de créer automatiquement une déclinaison parce qu’on ne sait ce que c’est l’option, ce qu’est la valeur. Donc, cela nécessite de faire ce travail de création là en l’occurrence manuellement côté PrestaShop. Par contre sur PrestaShop, une fois que vous avez créé le produit manuellement sur PrestaShop, vous pouvez mettre une référence qui peut être une référence de votre logiciel de gestion qui ne sait pas gérer les déclinaisons et du moment que la correspondance matche entre le logiciel de gestion et PrestaShop, à ce moment-là on va être capable de faire de la mise à jour parce que l’on a un manque d’informations mais on pourra quand même faire de la mise à jour.
Antoine THOMAS : En échangeant sur les salons avec différentes agences et freelances dont les customisations sont assez poussées justement de ce type-là mais sur des problématiques très spécifiques. On a vraiment des exemples de choses réalisées sur mesure pour votre interface de gestion mais on a aussi l’inverse, l’essentiel de ma formation , certaines informations sont justes sorties dans votre ERP. Après il faut voir avec Vaisonet, qu’est-il possible de sortir et de ne pas sortir ?
Maxime VARINARD : C’est le cas, il peut y avoir des fonctionnements hybrides. Si on n’a pas l’information de déclinaison en amont vers la gestion. On ne peut pas la créer automatiquement mais il peut avoir soit une stratégie pour créer sous forme de déclinaison sous PrestaShop, soit un travail avec l’agence web qui travaille sur le site internet, pour travailler sur le front pour faire des regroupements de produits. Si c’est pour faire des regroupements de produits, il peut y avoir des règles métiers directement sur PrestaShop.
Antoine THOMAS : L’avantage, c’est qu’entre les modules de fonctionnalités, votre thème, le module pour la partie front pour le côté visiteur client. Il est tout à fait possible de réfléchir à comment traiter votre problématique métier, peut-être autrement que la façon par défaut de PrestaShop. Il y a une réflexion à avoir dessus. J’espère que cela répond à la question. Pareil on va attendre pour la réponse. Il y a toujours un petit délai quand on parle et quand vous nous entendez.
Maxime VARINARD : Il y a une question : «Nous proposons aussi des produits 100 % personnalisés, sur mesure, comment gérer ?» Je vous laisserai préciser si je n’ai pas forcément bien compris la question. Mais on a des cas clients qui vendent des produit qui sont effectivement 100 % personnalisés parce que ce sont des produits qui vont être où l’on choisit la couleur, la forme et la découpe. Sur ce cas client là, Prestashop nativement ne sait pas faire des produits personnalisés hormis envoyer un fichier et mettre un champs de texte. Si on veut renseigner des découpes, des largeurs, il va falloir travailler en front pour avoir une interface qui soit conviviale et en back office pour une commande qui soit enregistrée dans le back office de PrestaShop. Au niveau de l’automatisation, une fois que l’on a résolu cette problématique-là côté PrestaShop, typiquement en termes d’échanges automatisés de données. Cela n’a pas d’impact tant qu’on reste sur des fonctionnements sans chaînes de production derrière. Je m’explique si c’est simplement une information dans la dénomination du produit par exemple si c’est une bâche de 10 mètres par 10 mètres de couleur bleu avec des œillets. Si c’est un texte au niveau de la commande cela va être transmis au niveau du logiciel de gestion commerciale de la même manière sans avoir de travail particulier au niveau de l’automatisation. Là où il peut avoir un travail d’automatisation particulier c’est si le logiciel de gestion sert derrière à gérer des ordres de fabrication donc pour une industrie ou pour un atelier, auquel cas on ne peut pas mettre ça dans un champ classique dans une commande comme un commentaire. Il va falloir alimenter de manière spécifique certains champs pour déclencher certains ordres de fabrication derrière. Donc ça des possibilités d’automatisations qui existent, qui vont nécessiter des études préalables et des fonctionnalités développées spécifiquement parce que l’on va être sur des PrestaShop probablement customisés et forcément des connecteurs customisés.
Antoine THOMAS : Du coup, c’est 11 heures 30, on va finir la présentation le webinaire. Si vous avez des questions, vous avez sur l’écran les informations pour contacter Vaisonet et continuer à échanger avec eux. Eventuellement travailler avec eux pour mettre en place la solution présentée ce matin. Encore une fois merci à tous et à toutes pour votre participation à ce webinaire, et merci beaucoup d’avoir posé plein de questions.
Maxime VARINARD : Merci de votre participation, merci Antoine.